IL N'Y A QUE NOS SILENCES QUI NOUS APPARTIENNENT, NOS PAROLES ET NOS ECRITS APPARTIENNENT AUX AUTRES.


vendredi 16 septembre 2011

BERNARD MUNA = HONNETETE, INTEGRITE, ET CREDIBILITE ... ou le « HIC » qui bouleverse la dictature établie.

"JE SUIS BERNARD A. MUNA ! "

Comment le dire, comment expliquer à mes concitoyens camerounais avec les mots qu'il faut la sincérité de mes propos lorsque j'affirme que je suis un homme de principe ? Je suis un DEMOCRATE, je suis un homme HONNÊTE, INTEGRE et CREDIBLE. Je respecte la séparation entre l'église et l'Etat, même si mes valeurs morales trouvent leurs racines dans l'Eglise. Je ne brandis pas ma religiosité à tous vents, mais mes actes et mon mode de vie sont basés sur la règle fondamentale de traiter autrui comme je voudrai que l'on me traite, moi.

J'ai exercé toute ma fonction de procureur animé par la recherche de la vérité, demandant l'aide et l'éclairage de Dieu le long de mon parcours professionnel.
Je suis Bernard MUNA, un homme compatissant, en quête de vérité, de justice et d'impartialité. Je suis une personne pragmatique. Je sais écouter avec patience et intérêt car je n'ai pas la science infuse. Chaque jour de ma vie est un apprentissage de plus. Et je ne cesse de remercier le Très Haut pour ses bienfaits dans ma vie. Ce que je remets en question, c'est moins les croyances des gens que leurs principes moraux, car c'est dans les agissements que l'on se fait une idée des principes moraux d'une personne.

Dans le champ politique, chacun vient avec sa foi et ses principes, lesquels influencent ses choix, actes et prises de décision. J'ai étudié le droit. Je vis du droit et suis parfaitement conscients de ses effets palpables ou subtils dans la société. Je ne suis pas économiste, mais le droit et l'économie sont interdépendants. Je ne suis pas sociologiste, mais le droit, l'économie, la sociologie et la politique sont interdépendants. Politicien de mon état, je suis parfaitement conscient de la complémentarité de toutes ces sciences. Elles ont animé ma vie, mes recherches, mes lectures et font de moi ce que je suis, c'est-à-dire qu'elles sous-tendent ma pensée. Or la pensée de chacun étant unique, parce que nous n'avons pas les mêmes parcours, je suis donc Bernard MUNA et pas quelqu'un d'autre.

Je suis une entité singulière, une entité unique et distincte des autres entités. Je plaide donc pour que l'on me juge à mon caractère, à mes actes en tant que personne et non en tant qu'élément fondu dans une quelconque diversité insaisissable.

Puissent mes actions contribuer à alléger les souffrances de mes concitoyens, telle est mon vœux qui, s'il se réalisait, je serais au soir de ma vie, heureux d'avoir vécu. Ce sentiment est lié aux valeurs qui ont bercées mon enfance. Adulte que je suis aujourd'hui, je suis moi, et non pas X ou Y.
JUGEZ-MOI À MES ACTES. JE PENSE CE QUE JE DIS ET FAIS CE QUE JE PROMETS.
Tel est le caractère de Bernard MUNA que beaucoup qui ne m'ont pas vécu ignorent. J'espère que ceux qui n'ont jamais pris le temps de me connaître se donneront le temps de m'écouter et de m'évaluer sur la base de mes principes et de ce que je suis. Comme l'a déclaré le Président Obama, ce qui relève de nous, ce sont nos principes et non le flux des évènements dans le temps.

Prière de dissocier Bernard MUNA des autres prétendants à la Magistrature Suprême.
DE GRACE, DISSOCIEZ BERNARD MUNA DU CANDIDAT PAUL BIYA, QUI LUI A APPORTE LA MISERE ET LA DESOLATION DANS DE NOMBREUSES FAMILLES. ARMONS-NOUS DE LA FOI EN LA VICTOIRE CONTRE LUI ET EN NOTRE CAPACITE À RECONSTRUIRE LE CAMEROUN AVEC DES PERSONNES HONNETES ET INTEGRES.

Permettez-moi de faire un plaidoyer pour la fédération des vraies forces du changement.
Verchick Levit sur les abus dont sont victimes les femmes, a écrit dans sa « Théorie du droit Féministe » que « La théorie du droit féministe est à la base, une exploration du concret. Les grands principes ou les règles abstraites ne sont jamais que des outils. Ils ne peuvent rendre justice que s'ils sont envisagés et appliqués en fonction du vécu réel, des expériences des personnes affectées ... Plutôt que de développer une théorie du droit positif sur les inégalités liées au sexe et sur le comment en venir à bout, la méthodologie du droit féministe s'appui sur les mécanismes d'application de la théorie du droit féministe et les moyens de recouper les expériences liées au genre »

La démocratie et cette théorie du droit féministe ont le même idéal. Les femmes subissent la brutalité masculine comme les citoyens camerounais subissent les sévices du Régime Biya et de ses thuriféraires. Autant les femmes ont besoin du changement, autant les citoyens camerounais veulent venir à bout de leurs souffrances. Or la déconstruction de la culture de la brutalité passe par un saut qualitatif, j'allais dire une grande mutation des mentalités.

L'expérience de l'histoire, de la vie de tous les jours et des faits quotidiens font montre de ce que la théorie du droit féministe a impulsé le changement par une méthode de déconstruction/reconstruction. Les abus perpétrés sur les femmes étaient monnaie courante à cause de l'absence d'un système juridique fort et à même de réguler et de réprimer. La théorie du droit féministe mit alors sur pied un processus de dénonciation des injustices et oppressions infligées aux femmes par les hommes. La méthodologie consistait alors à rechercher les informations non seulement sur les mauvais traitements des hommes sur les femmes, mais aussi, à élaborer sur cette base, une législation américaine pour protéger les droits des femmes. De même, la crise de la démocratie au Cameroun est le corollaire de l'absence d'un système judiciaire qui encadre et promeut L'ETAT DE DROIT.

Au nom de quoi la lutte pour les droits des femmes fait-elle irruption sur la problématique de renouvellement du leadership politique camerounais, me diriez-vous.
Si la théorie du droit féministe s'est appesantie sur le droit pour changer le sort des femmes, il se trouve que le candidat Bernard MUNA ne peut s'appuyer sur un système judiciaire indépendant pour promouvoir la démocratie et le développement, le système judiciaire, comme on le sait tous, étant corrompu et à la solde du pouvoir politique.

Wilson a décrit avec précision le système judiciaire camerounais. Au Cameroun, C'est le Ministre de la justice qui fait la loi. C'est le Président Paul Biya qui fait la loi. La loi est à la solde des manigances politiques et des politiciens véreux s'enrichissent dans et par le système judiciaire actuel. Les citoyens ne sont pas égaux devant la loi. Par conséquent, la création d'un environnement sociétal de démocratie au Cameroun nécessite que nous opérions ensemble un bond qualitatif d'envergure.

Catherine MACKINNON commença par fonder une vaste coalition pour l'action. La démocratie camerounaise passe par une stratégie de déconstruction et de reconstruction inspirée de nos valeurs profondes. Si nous nous donnons le temps d'expliquer aux Camerounais tout le mal que M. Biya a fait au Cameroun, les citoyens mieux avisés, rejoindraient en masse la caravane du changement. Sortir de notre torpeur et agir pour le changement, telle est la responsabilité directe de tous et de chacun.

Les politiques ont coutume de clamer: « trêve de bavardage, action!». Moi, Bernard MUNA, soutiens à l'instar du philosophe que théorie sans action est vaine comme action sans théorie est aveugle. Et pour cause ! Les paroles de certaines icônes de l'histoire de l'humanité ont bouleversé le monde, les ordres établis. Exemple, c'est par le « non », théorisé et développé inlassablement que les hommes ont gagné la bataille de l'instauration des droits civiques aux Etats Unis d'Amérique, c'est avec des paroles que l'humanité a introduit la lutte contre la traite négrière. La parole dite et redite par des hommes honnêtes et intègres, tel est le carburant des grands mouvements de changement dans l'histoire. La conversion des aspirations des camerounais en réalité, l'instauration d'un leadership pro-changement contre les forces de résistance aux changements, telle est la motivation principielle de notre lutte.

Nous devons pouvoir créer un système de primaires qui jugulera l'affluence et la pléthore des candidats à la Magistrature Suprême. M. Biya savait bien ce qu'il faisait lorsqu'il appelait au multipartisme sans l'accompagner d'un mécanisme juridique de sélection objective et de fédération autour des idées. M. Biya a plutôt, en bon disciple de Machiavel appliqué la théorie du "diviser pour mieux régner". Puissent tous les Camerounais inviter M. Biya à la retraite en votant massivement pour le changement. Ce ne sont pas les partis politiques, mais bien les citoyens qui votent. Que chacun exerce ce droit sacré de vote pour rompre le statut quo. Toutes les parties prenantes auront leur mot à dire sur la gestion du gouvernement de transition et l'instauration de la démocratie. Même le RDPC n'en sera pas exclu, seulement il ne sera plus comme durant 30 ans, au cœur des prises de décisions. Au-delà de la mise à nu des exactions du Régime finissant, M. Bernard MUNA, propose aussi à l'électorat les mécanismes de reconstruction d'un Cameroun nouveau. C'est en cela qu'il est différent des autres candidats. Sa profession de foi déroule une politique claire de gouvernance respectueuse de la Charte des Nations Unies sur les droits de l'homme et sur la démocratie.

Comme vous le savez tous, de toute ma vie, je n'ai jamais soutenu le régime Biya pour des raisons de divergence idéologique profondes. Je ne me sens pas concerné par cette opposition qu'il qualifie de simple « vendeurs d'illusions ». Moi, Bernard MUNA, j'ai consacré le meilleur de mon temps au plaidoyer pour les droits de l'homme aussi bien au Cameroun qu'en Afrique et dans le monde. Aucun autre candidat, Biya compris, ne peut rivaliser avec mes références. Sollicité par l'ONU au poste de Procureur adjoint au Tribunal Pénal International pour le Rwanda (TPIR), Bernard MUNA, l'homme de droit a fait ses preuves au sein des plus hautes instances judiciaires à l'échelle internationale. Il y a servi au nom de tous les Etats membres des institutions internationales, le Cameroun compris.

VOTEZ POUR BERNARD MUNA, LE MEILLEUR CANDIDAT POUR LA RECONSTRUCTION DU CAMEROUN



© 2011 BEN MUNA, la centrale de campagne
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1 commentaire:

  1. En tant qu'avocate sur Paris je sur bien entendu interpellée par cette phrase qui dit que : IL N'Y A QUE NOS SILENCES QUI NOUS APPARTIENNENT, NOS PAROLES ET NOS ECRITS APPARTIENNENT AUX AUTRES.

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